Modalités :
En visioconférence
Coût : 450€ TTC par personne (Membres du CEPRI : 300€ TTC)
Programme :
14 h – 14 h 15 : Accueil ; tour de table des participants avec présentation de leur territoire, des difficultés rencontrées et de leur attente vis-à-vis de la formation ; rappel des objectifs et de l’ordre du jour de la formation.
14 h 15 – 15 h 30 : L’origine des inondations et leurs conséquences au regard d’un certain nombre d’évènements majeurs en France et dans le Monde : Seine 1910, Loire 1846/1856/1866, Rhône 1856 et 2003, Xynthia 2010, Somme 2003 et 2024 (Hauts de France 2023-2024), Austreberthe et autres territoires avec ruissellement, Var et pourtour méditerranéen sur plusieurs années dont 2019, Pays-Bas 1953, Katrina 2005, Belgique 2019, etc.
15 h 30 – 15 h 45 : Les conséquences des inondations proviennent de l’implantation des biens, des réseaux et des personnes en zone inondable – exemple à partir de plusieurs situations avec diachronie de l’installation : Ile de France, Orléans et Tours, Boulogne-sur-Mer, Nantes, Bordeaux, Dax, etc.
15 h 45 – 16 h 00 : La limite des interventions techniques sur l’aléa (barrages et digues) pour gérer les conséquences des inondations – exemple sur la Loire (barrages et digues) et la Seine (murettes de protection et lacs réservoirs), exemple Hauts de France 2023, plaine du Var, etc.
16 h 00 – 16 h 50 : La difficulté des territoires à se reconstruire, à travers les témoignages d’acteurs de la reconstruction, dans plusieurs territoires lourdement touchés (Hautes-Pyrénées, Aude, Vallées des Alpes-Maritimes), qui montre l’importance d’anticiper et d’ élaborer un plan de relèvement pour préparer un territoire à réduire l’impact des inondations, qui les paralysent durablement.
16 h 50 – 17 h 00 : Echanges conclusifs
Les intervenants sont des experts reconnus dans le domaine des risques, membres de notre comité d’experts – notamment Nicolas Camphuis – et 2 membres de l’équipe technique, qui ont enquêté sur le relèvement des territoires après des inondations graves : Marie Evo, directrice du Cepri, et Laure Lucadou, chargée de mission risques.