Le CEPRI emménage dans le centre de Paris !

Nous sommes ravis de vous informer que le CEPRI a récemment déménagé dans de nouveaux locaux situés au 168 rue Saint-Denis à Paris.
Nos bureaux sont désormais facilement accessibles depuis toutes les gares de Paris, ce qui facilitera grandement vos déplacements.

Nous sommes impatients de vous accueillir dans nos nouveaux locaux et de continuer à collaborer avec vous. Pour ceux qui ne nous connaissent pas encore, c’est l’occasion de venir nous rencontrer et d’en savoir plus sur l’accompagnement que nous proposons aux collectivités.

Prévenez-nous de votre visite sur 👉

HydroExpo : Rendez-vous en Avril 2024 pour la troisième édition !

Après avoir fait escale au Lac d’Orient près de Troyes, l’unique salon européen dédié à l’entretien et à l’aménagement des milieux aquatiques s’installera du 10 au 12 avril 2024 aux Près du Hem près de Lille.

HydroExpo est un rendez-vous incontournable pour les entreprises et les collectivités qui souhaitent trouver des solutions aux problématiques qu’elles rencontrent concernant l’entretien, la réhabilitation, la préservation et l’aménagement de tous les milieux aquatiques.

Du nouveau pour HydroExpo #3 !                                                                                                           

Création d’un Village Techniques Forestières

Cette année votre salon se développe en proposant un nouveau Village « Techniques Forestières ».

Très complémentaire avec l’ADN d’HydroExpo, les travaux forestiers viendront étoffer l’offre et donner une nouvelle dimension au salon.

En lien direct avec les réalités économiques et environnementales du territoire, les travaux forestiers contribuent activement à la gestion des espaces naturels (protection des zones humides, gestion du littoral, gestion des massifs forestiers), à la préservation de la biodiversité ainsi qu’à la protection des sols.

Sylviculture, reboisement, exploitation forestière etc… Venez découvrir les différents savoir-faire, matériels, techniques et solutions dans un climat convivial et professionnel aux portes de Lille.

Une implantation stratégique

HydroExpo se déroulera à Armentières sur le site des Près du Hem. Ce choix n’est pas anodin car le lieu bénéficie d’une accessibilité exceptionnelle : 20 minutes de Lille, 1h de Paris et Bruxelles en TGV.

Située au carrefour de l’Europe du Nord, la région Hauts-de-France compte 5 départements, près de 6 millions d’habitants et plus de 365 000 entreprises actives. Elle a une vocation industrielle marquée et s’affirme comme la première région agricole de France en comptabilisant 5 parcs naturels régionaux, 32 réserves naturelles et un littoral exceptionnel de près de 200km.

La proximité directe avec la Belgique et les Pays-Bas permettra également de bénéficier du savoir-faire historique de ces deux pays.

Une troisième édition riche en temps forts

En 2024, près de 100 exposants, tous liés à ce marché d’avenir, sont attendus proposant des équipements dédiés aux milieux humides, des idées et des conseils pour vous conduire à une solution pérenne en respectant l’environnement et pour vous permettre d’être innovant, performant et responsable.

Collectivités territoriales, Syndicats mixtes de bassin, Communautés de communes, Agences de l’eau, Entreprises d’aménagement d’espaces verts, Opérateurs de voies navigables, Entreprises de TP etc. sont attendus pour cette 3e édition riche en nouveautés, échanges et informations utiles.

Très appréciées lors des deux premières éditions, les démonstrations « en live » seront reconduites. L’occasion parfaite pour vous de faire découvrir au plus grand nombre vos machines en action !

Une quinzaine de conférences sur des thèmes porteurs seront également accessibles à tous avec notamment l’intervention du cabinet d’avocats Landot et associés, spécialisés dans les questions environnementales, et réglementaires.

Conçu comme un véritable village gaulois

Toujours en extérieur, le salon s’articulera autour de plusieurs temps forts : démonstrations, animations, essais, concours, BBQ…

Les visiteurs pourront découvrir toutes sortes de matériels pour des applications variées aussi bien dans les domaines de l’entretien et de l’aménagement des milieux aquatiques que dans l’entretien des forêts et partager un BBQ gargantuesque avec notre partenaire Ramène Ta Braise.                        

Quoi de plus convivial pour accéder à des échanges privilégiés ?

Alors, qu’attendez-vous ? Rejoignez l’aventure HydroExpo !

Informations pratiques :

Date : 10, 11 et 12 avril 2024
Lieu : Les Prés du Hem – 59280 Armentières
Horaires : Mercredi 10 avril : 09h00-18h00 / Jeudi 11 avril : 09h00-18h00 / Vendredi 12 avril : 09h00-13h00
Inscription : Salon dédié aux professionnels du secteur, entrée gratuite
Site Internet : www.hydroexpo.fr
Contacts : Jérôme AUBRY – RPI : +33(0)1 60 94 22 21 –

Le CEPRI, jury au Trophées Bâtiments Résilients !

Le concours « Trophées Bâtiments Résilients » organisé depuis 2020 par la Mission Risques Naturels, propose de mettre en lumière des exemples de bonnes pratique et sensibilise à la nécessité de l’adaptation du bâti dès le début du projet.

Le concours revient cette année pour une 3ème édition avec de multiples partenaires !

Nous sommes persuadés que la monté en compétence de la résilience du bâti réside dans ce genre d’initiative, à laquelle nous sommes fière de participer en tant que membre du jury.

Si vous souhaitez candidater, c’est gratuit! Il suffit de publier une étude de cas d’un bâtiment neuf, rénové ou reconstruit en suivant les étapes détaillées juste ici.

Pour plus d’information: mrn.asso.fr/resilience/trophees-batiments-resilients/

Siège du parc National de la Guadeloupe, Basse Terre
Grand Prix, édition 2022
Campus Sanitaire et Social, Saint Claude
1er prix Tertiaire & Industriel, édition 2022

Dernière session de formation personnalisée sur urbanisme et inondation pour Rouen Métropole

Troisième et dernière session de formation pour les urbanistes et chargés de missions de différents services de la Métropole de Rouen.

Au menu : comment les documents de planification peuvent-ils être agiles pour ne pas les refaire à chaque nouvelle hypothèse toujours plus défavorable sur l’aléa ?

Nous sommes revenus ensemble sur les grands classiques : les OAP thématiques « Risques » de Chécy et de Grenoble.

Nous avons aussi exploré de nouvelles terres moins connues avec des PPR récents, élaborés dans l’esprit du décret de 2019, qui rendent possible le renouvellement urbain en zone inondable urbanisée à condition de réduire la vulnérabilité sur l’ensemble du périmètre de l’opération. Nous avons navigué entre les zones roses de Charenton-Bercy et les zones jaunes/oranges de la métropole de Grenoble qui favorisent les opérations multi-parcellaires complexes, ou encore les Espaces Stratégiques de Requalification dans les Alpes-Maritimes comme à Mandelieu-La Napoule.

Nous avons aussi beaucoup parlé des nouveaux modes de travail en co-construction qui permettent de casser les silos entre urbanisme et prévention des inondations, et de partager une stratégie commune pour le territoire.

L’élaboration du SCoT de Troyes en est bon un exemple ! Mais aussi la co-construction entre acteurs publics du Projet Partenarial d’Aménagement de Coutances, la mobilisation de tous les acteurs du territoire par la CC de la Baie du Cotentin et la CA du Cotentin pour élaborer une stratégie de gestion durable du littoral, ou encore l’organisation d’ateliers de co-construction de la connaissance du risque entre élus et habitants par CCPOA.

Ces trois sessions ont générés des échanges particulièrement riches qui devraient permettre à la Métropole de poursuivre son travail sur l’urbanisme en zone inondable plus sereinement.

Visite de terrain à L’Arbresle

Est-il possible de changer de cap et de transformer une zone destinée à de l’activité en un champ d’expansion de crues ? La réponse est oui, et c’est ce qui a été fait à L’Arbresle.

Betty Cachot, directrice du SYRIBT, adhérent de notre réseau PAPI-SLGRI – nous a expliqué que la crue de 2008 a marqué les esprits – avec jusqu’à 1,80m d’eau dans certaines habitations – et a rebattu les cartes. La zone du Bigout devait devenir une zone d’activité, mais l’inondation a fédéré les élus autour de la nécessité de créer un champ d’expansion de crue pour abaisser la ligne d’eau en aval.

Quelques délocalisations et aménagements paysagers plus tard, et le Val des Chenevières est aujourd’hui un espace public agréable qui profite à tous ! Des repères de crue ne manquent pas de rappeler aux riverains l’existence du risque qui est toujours là, et pas qu’un peu ! La preuve avec Marion Ribon, chargée de mission inondation au SYRIBT, qui parait bien petite à côté des repères de crues historiques.

Un projet qui fait parties des références que l’on documente au CEPRI !

Temps d’échanges sur l’urbanisme en zone inondable avec Grand Lyon Métropole

Deuxième session de temps d’échanges sur mesure pour les urbanistes et chargés d’opérations de la Métropole de Lyon !

Un des objectifs était de les aider à décrypter comment est produite l’information hydraulique que l’on trouve dans les PPRI, afin de leur permettre de prendre du recul par rapport aux mesures données.

L’occasion aussi de rappeler que « le PPRI est ton ami » mais que la prise de distance est nécessaire, notamment quand une connaissance plus récente existe : dans ce cas-là, elle prévaut ! Le cas de Grigny présenté par Manon Perreal Dewitte en était un bon exemple.

Cap sur Grenoble-Alpes Métropole avec une intervention de Vincent Boudières, qui a expliqué que la métropole a fait le choix du renouvellement urbain en zone inondable pour éviter de construire dans d’autres zones aux risques divers (crues torrentielles, mouvements de terrain, incendie, etc.) On ne peut ni les prévoir ni s’en protéger comme les inondations de plaine, pour lesquelles la métropole a mis en place des Plans d’Anticipation Gradués et compte un système d’endiguement fonctionnel jusqu’à la Q100 voire Q200.

La métropole a donc décidé de privilégier, dans sa stratégie « Risques et Résilience », des opérations multi parcellaires résilientes dans certaines zones inondables, le tout dans le respect du PPRI, élaboré en cohérence avec les principes du décret de 2019 et en collaboration entre la collectivité et la DDT.

Un exemple inspirant de renouvellement urbain synonyme de réduction de la vulnérabilité : une faible augmentation de la population mais dans des constructions adaptées et une ville résiliente !

Pour penser de nouvelles opérations d’aménagement résilientes, le CEPRI a insisté sur l’importance de construire un récit de l’inondation. Pour exemple, retour sur le projet « Comme une arche de Noé » élaboré sur le parc de la Confluence à Montereaux pour le concours AMITER, où l’équipe a inondé le site pour imaginer de nouvelles perspectives. Le CEPRI a ensuite proposé un récit sur l’une des opérations en cours portées par la Métropole de Lyon à Albigny-sur-Saône.

Nouvelle plaquette grand public du CEPRI – Réduction de la vulnérabilité du bâti aux inondations

Les petits personnages du CEPRI sont de retour !

Afin d’aider les collectivités à sensibiliser les habitants de leur territoire à adapter leur habitation pour réduire leur vulnérabilité aux inondations, et les inciter à lancer les démarches pour passer aux travaux, le CEPRI a élaboré une plaquette grand public mise à disposition de ses membres.
 
Vous lancez une campagne de diagnostics ? Alors contactez-nous pour recevoir des flyers sur !

Réunion du comité d’experts du CEPRI

Vendredi 27 octobre, notre comité d’experts renouvelé s’est réuni autour de la question « comment anticiper pour faciliter et accélérer le relèvement post-inondation des territoires ? ». 

Tous ont planché : Oscar Navarro, Régis Thépot, Julien Langumier, Bruno Ledoux, Freddy Vinet, Ludovic Faytre, André Bachoc et Serge Garrigues, ainsi que Marie-France Beaufils, qui représentait la voix des élus ! 

Parmi les résultats de ce débat très riche : 

  • Il est possible de porter des améliorations sur le plan législatif et réglementaire. Pour cela  : il faut mettre en place des listes de difficultés et de points à traiter de façon prioritaire. 
  • Il est utile d’élaborer une méthodologie de raisonnement sous forme de guide : une feuille de route chronologique détaillant les bonnes questions à se poser, les objectifs stratégiques à identifier, et listant les bonnes pratiques. 
  • Il faudrait inventer une «  task force  »  : un réseau de référents mobilisables pour venir en appui à un territoire sinistré, pendant la crise mais aussi et surtout durant le temps long du relèvement. Attention, il ne s’agit pas de se substituer aux élus  : même s’ils sont sous le coup de l’émotion, ils sont toujours à même de prendre les bonnes décisions pour leur territoire  ! 
  • Comment faire engager aux collectivités une réflexion d’anticipation d’une potentielle reconstruction, quand celles-ci n’ont pas vécu de crise significative les entrainant à repenser l’aménagement de leur territoire différemment ? Plusieurs pistes ont été évoquées : 
  • Utiliser des outils existants, comme le PAPI, pour y intégrer des objectifs de résilience.  
  • Inciter les collectivités à réaliser un diagnostic de vulnérabilité à travers l’étude de scénarios. Il faut former des experts à la réalisation de ce diagnostic, mais aussi former les élus pour qu’ils puissent recevoir ces informations ; les aider à comprendre l’aléa et l’impact de la survenue d’une inondation sur leur territoire  ! 
  • Recréer du « bonus » dans la mise en œuvre d’une démarche de résilience plutôt qu’utiliser le discours de la contrainte, comme dans la loi Littoral par exemple.  

Comme l’a rappelé André Bachoc « Anticiper c’est possible et c’est vital  !  ». Nous tâcherons de «  rester simples et pragmatiques  » sur les conseils de Serge Garrigues, afin de proposer l’installation de groupes de travail sur des points précis et concrets, ainsi que quelques pistes pour que des solutions soient étudiées et mises en œuvre. 

Journée d’échanges PAPI 12/12 – La prise en compte du risque d’inondation dans l’urbanisme

Mardi 12 décembre, 40 techniciens PAPI et services de l’Etat étaient présents en visio-conférence pour échanger autour du thème essentiel de la prise en compte du risque d’inondation dans l’urbanisme.

Comment casser les silos entre gestion des risques et urbanisme ? Comment intégrer l’inondation dans l’urbanisme de façon opérationnelle ? Quelles initiatives possibles en accord avec la diversité des territoires ?

A l’ordre du jour, 4 interventions présentant 4 façons d’intégrer le risque dans l’aménagement du territoire et l’urbanisme : à travers le SCOT pour le Syndicat DEPART, la sensibilisation des élus pour l’Association des maires de Gironde (AMG), un appel à partenaires pour le Syndicat mixte Baie de Somme – Grand Littoral Picard, et la création d’un poste dédié croisant eau, aménagement et urbanisme au SMEAG.

L’importance d’avoir une approche transversale pour s’adapter aux changements présents et futurs dans les milieux urbanisés était le dénominateur commun des présentations.

Pour poursuivre les discussions sur cette thématique, rendez-vous à la prochaine formation annuelle du CEPRI « L’intégration du risque inondation dans l’aménagement » le 16 mai 2024 !

Soirée « Paris je m’engage »

Le CEPRI était au rendez-vous pour mobiliser les parisiens dans le réseau des Référents crue de la Seine, qui pourraient organiser une solidarité à l’échelle de leur quartier, avant, pendant ou après la crue.

La soirée s’est terminée au salon des Arcades où Nicolas Camphuis et Marie Evo, codirecteurs du CEPRI, ont improvisé un duo sur la compréhension du phénomène et la nécessité de s’organiser en amont pour limiter l’impact de l’inondation sur sa vie personnelle.

Déjà plus de 400 volontaires de Paris ont répondu présent aux sessions de sensibilisation en petits groupes données par le CEPRI depuis début octobre ! Les formations sont toujours ouvertes, alors n’attendez plus pour devenir Référent crue de la Seine !

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